Mes chers contemporains,
Reculons pour mieux sauter. Il me vient à l’esprit de vous faire le récit autour de la naissance de Joseph Mukungubila en pensant que cela pourrait vous aider à comprendre différentes secousses que connaît notre planète aujourd’hui et si ce sera possible, de pouvoir y remédier pour nous en sortir.
Pour rappel, mes chers contemporains, comme vous le savez, la Deuxième Guerre mondiale s’est très mal terminée car cela avait causé une terrible tragédie avec la bombe atomique.
Ainsi les puissants, les grands, ceux qu’on appelle décideurs, se dirent “plus jamais ça”.
C’est justement suite à cette phrase “plus jamais ça”, que fût créé le siège des Nations unies.
Je voudrais dire que la planète avait compris qu’il fallait penser autrement. Au lieu de nous engager sur le climat des guerres, c’était préférable de penser à la paix.
Comme je le disais tout à l’heure, je vous invite, chers contemporains, à reculer un tout petit peu avec moi, à regarder dans ce proche passé : c’est sur ma naissance, la naissance de Joseph Mukungubila. Quelqu’un décide de se suicider, on le retrouve pendu à un arbre; ceci crée la terreur sur toute la contrée du groupement Nzoa. Bien sûr c’était à l’époque coloniale, le pouvoir colonial (Bulamatari) décide d’envoyer un enquêteur sur les lieux à Kisala. L’enquêteur arrive à Kisala (Mahaya) et y passe la nuit. Le matin, le fonctionnaire belge va surprendre les habitants de Kisala en leur demandant de se rassembler parce qu’il avait un message très important à leur communiquer. Ce qui fût fait à l’instant même. Ce fonctionnaire de l’Etat belge (un Blanc bien sûr) s’adressant aux Kisalais leur dit ceci : “je suis troublé par une vision que je viens de faire cette nuit et qui a pu m’enlever le sommeil”. Il demanda aux Kisalais que le clan Musika puisse s’avancer pour se séparer des habitants de Kisala. Le Blanc va déclarer ceci : “de ce clan Musika va naître un enfant (garçon) qui va secouer le monde entier”.
Quelques jours après, l’étoile tombe du ciel pour s’enfoncer dans les entrailles des terres de Kabalo. Presqu’au même moment, une jeune fille va se retrouver enceinte, c’est Kabila Léonie, ma mère. Sa belle-mère du nom de Nkulu Wa Muleka, s’approchera d’elle pour l’instruire sur la façon de se comporter avec la grossesse en lui disant : “prends ce bout de bois (c’était un bout de bois bien taillé appelé en Kiluba “Musao” qui veut dire “annonce”)”.
Ma grand-mère Nkulu Wa Muleka fera des recommandations à sa bru disant : “tout au long de ta grossesse, tu devras te servir de ce bois comme oreiller. C’est-à-dire tu poseras ta tête sur ce bois pendant toute la période de la grossesse jusqu’à son terme, jusqu’à ce que l’enfant naisse”. La jeune femme, qui est ma mère, a pu se soumettre à ces recommandations. Il faut noter en passant que ma grand-mère Nkulu Wa Muleka s’était exprimée devant ma mère en ces termes : “ma fille, l’enfant que tu portes en ton sein est un grand Roi que Dieu nous envoie sur Terre… Tu dois te soumettre strictement à tout ce que je te recommande, ma fille”.
Il est peut-être important de souligner quelques péripéties de mon enfance. Arrivé en 1959, un fait, que je considère comme étant de l’insolite : mes parents m’avaient mis à la maternelle chez les filles à Sainte Marie d’Albertville appelé aujourd’hui Bakita, l’unique garçon parmi les filles, je sortis premier de la classe. Ce rythme, toujours premier de la classe, continuera jusqu’en 4ème primaire. Pendant tout ce temps, ce qui est prodigieux, je n’étudiais jamais après la sortie de classe, même en période d’examen pourtant, je continuais à garder mon cap, toujours premier de la classe. C’est en entrant en 5ème, je n’avais que 12 ans, au troisième trimestre lors des derniers examens, je sortis 3ème, quelle déception ! A ma grande surprise, les prêtres m’offrent la bible ! Comprenez mes très chers contemporains quelle fût ma déception. A moi, le garçon de 12 ans, on m’offre la bible qui, à l’époque coloniale, était interdite. C’est mon père qui fera dissiper ma tristesse alors que je me disais que mon maître était injuste car il venait de me diminuer en me mettant 3ème de la classe et comme prix on me donna la bible. C’est au même moment que les pères de l’indépendance venaient d’être convoqués pour la table ronde à Bruxelles. Permettez-moi de souligner que ce geste fait par les prêtres était politique par rapport à mon pays qui était en gestation pour acquérir l’indépendance. L’interprétation que je me fais après l’appel de Dieu, ça m’avait fait comprendre que la bible constituait la lettre de créance de mon pays qui leur avait manqué lorsqu’ils se rendaient à la table ronde (prière de ne pas oublier ce détail).
Autre fait insolite, moi Mukungubila, chaque année, il m’arrivait de pleurer les souffrances et la mort de Jésus à l’approche de la Pâques. Pardonnez-moi, mes très chers contemporains, de vous avoir amenés en recul dans le passé.
Revenons dans le présent, afin de pouvoir foncer dans le futur de notre planète.
Notre planète est, aujourd’hui, en pleine ébullition de désordre, n’est-ce pas ? Il est de notre droit de nous poser 1000 questions. La plupart d’entre nous commence même à se demander si cette furie de l’eau ou de feu n’est pas un signe de la fin du monde ?! Chers contemporains, permettez que je puisse vous rappeler les paroles du Pape François qui avait dit ceci : “nous avons failli en tant que responsables, en tant qu’intendants, à notre devoir de gérer la Terre. Au lieu de bien gérer, on l’a pillée. Raison pour laquelle, certains mouvements s’élèvent comme Corona (Covid-19) et autres”. C’est justement là qu’est le problème. Moi Mukungubila, en tant qu’instrument utilisé par Dieu Créateur, je vous ai indiqué le Congo RDC comme pays de recours parce que Dieu venait de susciter son Christ. Ce Christ, c’est le seul vaccin qui pourrait garantir notre vie et c’est le seul remède pour nous guérir de Corona, sans aucune difficulté. En quelques secondes ou minutes, au nom de Mukungubila, ça s’arrête. Mis à part cela, ce vent impétueux de Corona nous a fait souffrir, puisque ça a soufflé sur toute la planète et ça a endeuillé toute la planète. Dieu Créateur par la même occasion a répandu son esprit sur nous, marquant ainsi le temps de réveil. C’est le deuxième réveil, après celui du temps de Jésus avec ses apôtres. Lisez Actes des apôtres 2:14-15,16-17,18 et Joël 2:28,29.
Après cette grande bénédiction du réveil de Jésus et ses apôtres, Dieu vient de nous répondre en répandant abondamment son esprit sur nous à partir du Christ qu’il vient de susciter au Congo (cela avait été aussi annoncé par les prêtres catholiques au Vatican). Ceci dit, ces puissants, ces grands, ces décideurs, il est plus souhaitable qu’ils puissent se prononcer en répétant la même phrase de 1945 “plus jamais ça” en ce qui concerne le Congo et tous ses habitants congolais qui ont beaucoup souffert en perdant les leurs, plus de 12 millions de morts tués par l’envahisseur rwandais. A cause de toutes ces richesses que l’Eternel Dieu a enfouies sous le sol congolais, les Congolais continuent à payer le lourd tribut. Raison pour laquelle, il est temps pour nous, chers contemporains, d’apaiser la colère du Créateur. Le Dieu Créateur, de par toutes ces calamités qui font suite à Corona, voudrait que les grands puissent prononcer “plus jamais ça” et vous verrez que tout va se calmer. Dieu n’entend pas calmer la situation sans que la justice soit rendue à l’homme de prédilection et à son peuple. Dieu réclame que les grands puissent aider le Congo en permettant à Dieu Créateur de gouverner ces terres congolaises par son Christ. Que tous les décideurs soient sensibles aux souffrances insupportables qu’endure ce peuple congolais. Ce peuple est en train d’être massacré, assassiné presqu’au jour le jour parce qu’on lui a enlevé la souveraineté alors que la paix de toute la planète dépend de ce peuple. Ainsi dit le Seigneur : “il est souhaitable que, vous les grands, les décideurs, vous preniez toutes les dispositions pour permettre au Dieu Créateur de gouverner le Congo car aujourd’hui Dieu tient à diriger lui-même le Congo en tenant compte des instructions qu’il doit donner, pour d’abord faire bénéficier toute la planète c’est-à-dire que toutes les nations puissent goûter les bienfaits du règne de l’Eternel Dieu par son Fils le Christ”.
Je vous jure par l’Eternel Dieu, si vous prenez toutes les dispositions pour permettre à Dieu de diriger le Congo, automatiquement tout va se déclencher et tout ce désordre, des calamités et Corona, va s’arrêter. Dieu Créateur a signé, a mis son empreinte digitale pour certifier tout ce que je suis en train de vous dire. Si impérativement vous apportez votre soutien à l’Oint de l’Eternel, le Christ que Dieu vient de susciter à partir du Congo, toutes les peines dont souffre la planète aujourd’hui, en regardant toutes ces calamités, vont disparaître. Je jure qu’avec votre soutien, à partir du Congo ainsi que tous les pays, la paix sera possible parce que les gens malintentionnés, même parmi les traîtres congolais qui travaillent contre le vent, je veux dire ceux qui n’aiment pas voir Dieu arranger la situation du Congo, vont très loin; ils vont jusqu’à s’imaginer créer ou fabriquer le Christ femme. Un blasphème qui ne dit pas son nom. Même à Satan, il lui est impossible de rêver d’un Christ femme. A quelle catégorie pourrions-nous classer cette espèce d’individus ??!!
Je pense que ces méchants, qui ne pensent qu’à infliger continuellement la souffrance au peuple congolais, sont en train de souffrir cruellement eux-mêmes du fait que l’Eternel ait apposé sa signature sur la lettre de créance concernant le Congo (Matthieu 21:43). Cette nation dont parle Jésus de Nazareth n’est autre que le Congo-Kinshasa. La raison d’être de son empreinte digitale est pour certifier sa présence dans ce pays sillonné de fleuves. La carte du Congo sur les pavés de Capernaüm, c’est le sceau et la signature propre du Dieu Créateur.
Joseph Mukungubila Mutombo
Prophète de l’Eternel